CÉRÉALES KILLERS ou comment comprendre les secrets séculaires des symboles totémiques ornant les boîtes de ces si délicieuses céréales sucrées.
Vient un jour dans la vie d’un homme où les réponses à des questions importantes sont révélées dans des circonstances douloureuses, mais nécessaires. Ces moments de révélation, rares et chers, où tout est à sa place, tout est éclairé par l’iridescence de la Vérité, l’albédo indivisible du Vrai. Chers lecteurs, j’ai été récemment éclairé par une de ces vérités séculaires qui échappent à plusieurs d’entre vous. Je tiens à vous en faire part, pour votre salut et pour que vous ayez la possibilité de faire de véritables choix. Le praticien des arts occultes vous dira: «Rien n’est vrai. Tout est permis. C’est la seule vérité». Mais ce que le Nouvel Ordre mondial vous dit vraiment, en ce moment, c’est que «Tout est vrai. Rien n’est permis». Que tout va bien. Que tout est parfait tout le temps. Que tout est «à point».
En tant que geek et mystique initié au secret de l’univers, je suis évidemment connecté de manière intime à la puissance des symboles. Je connais leur considérable potentiel occulte. Je suis aux aguets en permanence. Nos sociétés sont tapissées de symboles qui nous semblent anodins, mais qui sont disséminés de manière élusive et efficace. Rien de mieux que le symbole pour propager aisément une idée et infecter les consciences. Par ailleurs, ce sont les symboles les plus inoffensifs en apparence qui sont forcément les plus insidieux. L’Amérique maçonnique est entièrement bâtie sur un efficace agencement de ces symboles, des «complèxes mémiques» propagées à des fins de renforcement du statu quo, mais «garantissant» à l’individu l’illusion de ses choix. Un choix qu’il n’a pas, bien évidemment. On arrive néanmoins à lui suggérer le contraire en lui donnant le choix de «produits». Ces produits sont beaucoup plus que de simples «marques». Ce sont des régulateurs, des niveleurs, des équarrisseurs idéologiques.
Pour qu’une société puisse bien contrôler idéologiquement la populace, il est évidemment important qu’elle infecte les consciences avec ces symboles dès le plus jeune âge. C’est avec l’alimentation qu’elles y parviennent le mieux. Le jus, les conserves, les surgelés…
Les céréales… Surtout les céréales. Il est vital que je vous explique. Vous allez voir: It’s greeeeeeeeat!
En tant que geek, il va de soi que les céréales sucrées ne font pas seulement partie de mes souvenirs d’enfance: elles sont encore tristement reliées à mes rituels matinaux les plus agréables. Elles ne sont pas qu’UNE partie d’un petit déjeuner équilibré en demandant 24 autres, elles font aussi intimement partie de la vie de tous geeks trentenaires (et aux abords de la quarantaine aussi), comme le t-shirt et la porno matinale. Ces si délicieuses céréales qui laissent dans le cœur des palpitations de lait sucré et poisseux au goût de cancer. Combien d’entre nous, entre la béatitude et l’extase, avons lu des comics en lapant maladroitement nos bols, le lait gluant s’immisçant subrepticement entre les poils de ces barbes que les plus ventripotents d’entre nous arborons pour cacher nos clones de menton et les plus rachitiques pour dissimuler leur absence de mâchoire? Ces céréales sont le Soma de notre génération au menton sentant le fromage de chèvre.
Un illuminati alimentaire s’assure que vous ne puissiez pas arrêter d’en manger. Elles y associent des symboles totémiques particulièrement puissants. Rappelez-vous que plusieurs de ces céréales proviennent de la compagnie Kellogg. À l’origine, John Harvey Kellogg était un occultiste pratiquant un système mystique de fortune oscillant entre les propositions de l’église Advantiste du Septième jour, une gnose chrétienne prônant l’abstinence et la contrition et certains rituels ancestraux extatiques des Potowatamis, les Amérindiens de la région de Battle Creek au Michigan. Paradoxalement, c’était aussi un adorateur de la race aryenne indo-européenne qui croyait aux vertus de l’eugénisme. De son infatuation pour la race indo-européenne, il récupérera plusieurs éléments: le Yoga, le végétarisme, le swastika et le totem suprême des indiens, le tigre.
Kellogg était donc à la tête d’une secte qui célébrait des principes de santé «absolue», en apparence. Dans les faits, c’est la souffrance, la mortification et l’eugénisme qui constituaient les accents sous-jacents de sa doctrine. C’était un gourou de la plus pure tradition. Dès le départ, plusieurs de ses produits étaient accompagnés de symboles occultes.
Cette méthode totémique est non seulement en vigueur aujourd’hui, elle est plus forte que jamais. Les autres compagnies de céréales, dans leur volonté de faire compétition à Kellogg, ont tout naturellement émulé le modus operandi. Chaque mascotte de céréales est aujourd’hui des symboles représentant un trait identitaire encouragé par notre société, une attitude à préconiser pour en devenir un membre acceptable (et aisément contrôlable). Elles sont les gardes-chiourmes du statu quo. À chaque bouchée que vous enfournez en regardant la mascotte sur la boîte, une association sensitive systématique et inconsciente est faite entre le goût si délicieux, rassurant dans votre yeule, et l’attitude que la marque de céréale veut installer dans votre mode de vie. Bref, un rituel occulte aux accents pavloviens terriblement efficaces.
«Dis-moi quelles céréales tu manges, je te dirai ce qu’ils veulent que tu sois». C’est ce que j’ai fait pour vous avec ce texte, frères et soeurs geeks. Grâce à cette analyse basée sur des observations précises, vous serez en mesure de savoir quels sont les dangers de chacune de ces céréales.
Commençons par le plus populaire d’entre eux…
TONY LE TIGRE des Frosted Flakes
Né en 1951. Le plus vieux et «vénérable» de tous les totems avec Cornelius le coq. Tony le tigre est censé représenter la santé, l’énergie, le dépassement de soi et l’activité physique. À travers les décennies, il est devenu de plus en plus masculin, viril et paternel.
Ce qu’il représente en réalité:
La supériorité ethnique, masculine et paternaliste. Tony le tigre est le symbole même de la virilité guerrière. C’est un conquérant et il fait ouvertement référence à Alexandre le Grand, le Tigre de Macédoine (It’s GREEEAT!). Il faut savoir qu’initialement, Tony était un tigre blanc et que sa coloration a changé par la suite. C’est un totem souverain, célébrant la venue des grands maîtres du monde tel que voulu par Kellogg. Il est l’Amérique fasciste et dominante, le symbole maçonnique de la symétrie et de l’Ordre. Paradoxalement, il est aussi un fort symbole homosexuel. La raison est simple: il réfère à un monde d’homme pour les hommes. Kellogg aura tôt fait de changer cet aspect. Il deviendra par la suite un père de famille italien autoritaire et avenant avec une large famille.
Chaque bouchée de ces délicieux flocons sucrés est censée vous rappeler une chose: sois fier, sois dominant et surtout, cherche constamment la victoire. Impose-toi. Les perdants ne dominent pas le monde.
“Show them your a Tiger…show what you can do”. Écrase ton adversaire. Fais le pour ta nation parce “IT’S GRRRREAT!”. Sois le maître du monde. Les Frosted Flakes sont au final la version populiste des Corn Flakes.
CORNELIUS THE ROOSTER des Corn Flakes:
Le coq Cornelius, symbole d’un bon petit déjeuner équilibré, a déjà été brièvement et souvent «anthropomorphique», mais il revient invariablement au même design minimalisme et abstrait, contrairement aux autres céréales. Pourquoi donc?
Ce qu’il représente en réalité:
La gloire des Adventistes et des «vrais» américains, des pères fondateurs. Une céréale saine faite pour des gens sains qui le méritent? You bet! Ceux qui travaillent bien, qui sont vertueux, abstinents, auront droit à leur céréale, fondée au tout début (accidentellement) pour ceux et celles qui suivaient, selon les principes de l’église Adventiste, une stricte diète végétarienne dont le but était d’éloigner les “passions” alimentaires. Dans plusieurs religions, le sacrifice d’un coq représente le début d’une entreprise. Il aussi le symbole de la pureté chez les chrétiens. Les Corn Flakes célèbrent la fondation des États-Unis (corn fed american, dit l’expression), ce temps rêvé où tout était encore à faire sans avoir des gens d’autres cultures dans les pattes. Toutes les autres céréales qui suivront seront plus ou moins réservées pour les souches inférieures de l’Amérique, celles des «faux» américains.
SAM LE TOUCAN des Froots Loops:
Le compétiteur direct de Tony. On se souviendra de son mantra “Follow my nose. It always knows!”. Censé représenter l’esprit d’aventure, la découverte des mondes tropicaux à travers l’exploration. Sam est l’ami des enfants qu’il entraine dans ses aventures.
Ce qu’il représente en réalité:
Le principe de la fierté militaire et de la conquête. «Suivez-moi, je connais la voie». Sam le Toucan est un général de troupe, un pilote éclaireur. Il n’est pas surprenant que le Totem du toucan ait été choisi: il est une appropriation du symbole de la fierté maya. Sam (pour Uncle Sam), possède toutes les couleurs des Amériques. Il incite les enfants à le suivre sous des apparences de jeu, comme le joueur de flûte de Hamelin. En fait, il les guide fièrement vers la guerre et la conquête en faisant miroiter des rêves d’exotisme. Il forme la prochaine génération de soldats qui envahiront le monde. D’ailleurs, son bec symbolise de toute évidence la puissance de la bombe. Les jolis anneaux fruités semblent tellement inoffensifs non? Regardez plus près: ce sont des anneaux d’explosion nucléaire. Pour la petite information, les Froot Loops furent l’aliment le plus envoyé aux soldats durant la guerre du Vietnam.
SUGAR BEAR des Sugar Crisps:
Le principal adversaire de Tony le tigre. L’ourson débonnaire et décontracté qui fait glisser un soupçon de miel dans vos céréales comme le GHB dans un cocktail sucré aux pêches.
Ce qu’il représente en réalité:
Un stéréotype racial servant à rendre attirant un certain mode de vie des noirs à cette époque. Proxénétisme, deal de drogue, alcool. Obsession pour “that sweet sweet honey”, symbolisant autant l’alcool, la drogue, l’argent que le liquide séminal des femmes. Sugar Bear est le versant “blaxploitation” des céréales, jusqu’à son nom et son attitude de “stoner” au regard glabre de violeur. Est-ce une coïncidence si ces magnifiques flocons ressemblent tant à «des petites vulves crépitant dans le lait»? C’est un constat que j’ai fait tôt dans la vie, comme vous pourrez le constater vous-même en regardant ceci:
Bref, Sugar Bear invite les Afro-américains à rester dans ces idées de paresse, de drogue et de proxénétisme que leur attribuent si gentiment les Caucasiens. Cette idée de ne jamais en avoir assez; d’argent, de femmes et de drogue. Comme le dit le slogan: «Je n’ai jamais assez de Sugar Crisps”. Plus facile de contrôler l’autre moitié de la société en la gardant dans l’ignorance. De même, Sugar Crisps est de tout temps la céréale la plus consommée par les noirs. En créant cette céréale, la compagnie céréalière concurrente Post s’opposait directement à l’idéologie des Frosted Flakes, tout en la complétant. La parfaite céréale contre les munchies.
Pour s’opposer à Post, Kellogg créera sa propre version afro-américaine en copiant en tout point la céréale et en gardant l’idée de base. Par contre, ce sera une nouvelle génération qui sera ciblée: la culture émergeante du rap, du nouveau ghetto et du speed, du smack. Son nom: SUGAR SMACKS (qui deviendront plus tard les Honey Smacks) avec sa grenouille survoltée et sur la coke, DIG’EM FROG!
SUIVRONT ENSUITE D’AUTRES STÉRÉOTYPES AMÉRICAINS TRAITANT DU MÊME SUJET: LUCKY THE LEPRECHAUN des Lucky Charms:
On se rappellera que le petit farfadet des Lucky Charms trouvait toujours le moyen de se sauver avec ses céréales pour éviter qu’on ne mette la main dessus, comme le pot d’or de la légende.
Ce qu’il représente en réalité:
Un stéréotype racial servant à banaliser la présence des Irlandais en Amérique. Les Irlandais sont arrivés en Amérique au cœur de la famine, pauvres, avec rien d’autre que la fierté de leur culture. Ils ont contribué à l’édification de ce pays. Reste que pour la véritable race blanche dominante américaine, les Irlandais sont des nègres blancs, alcooliques et intimement reliés au crime organisé. Rien de plus inconfortable que cette notion de «luck of the Irish» quand on pense à la suite ininterrompue de malchances qui cribla l’Irlande. De ces trois traits qui déterminent une certaine idée de l’Irlande, la «chance», la bière et le folklore, les LUCKY CHARMS ont tout gardé. Les céréales sont à base de blé. Le farfadet symbolise cette idée de richesse et de chance pourtant inexistante chez eux. Et ces petites guimauves sont de puissantes images magiques sans aucune valeur nutritive et cachent tout simplement la céréale vide et ennuyante en dessous. Elles sont littéralement des «charmes», l’illusion de quelque chose qui est pourtant inexistant. Les Lucky Charms sont les céréales que l’Amérique a créées pour célébrer le travail des Irlandais chez eux: vides, aucunement nutritives et pleines de symboles magiques servant à «charmer». Les morceaux de guimauves représentent tous justement des symboles «païens», ils sont doux et sucrés, attirants, mais mauvais pour la santé, tandis que les morceaux «nutritifs» ont plutôt la forme de symboles typiquement chrétiens: le poisson et la croix. Ils sont moins «séduisants», mais concrètement ils sont nutritifs pour le corps, de la même manière que le christianisme est nutritif pour l’âme. Est-ce surprenant que l’Empire britannique achète encore cette céréale désormais inexistante chez eux pour des sommes faramineuses sur Amazon et E-bay (I SHIT YOU NOT)?
TRIX RABBIT de céréales TRIX
De manière diamétralement opposée à Lucky the Leprechaun, Trix est un lapin survolté qui veut de toutes ses forces des céréales, mais ne parvient jamais vraiment à les avoir parce qu’on lui refuse.
Ce qu’il représente en réalité:
Le traitement réservé aux junkies et aux prostitués par le système. Le lapin, symbole de fertilité systématique. Cobaye de laboratoire dans lequel on inocule des maladies terribles. Impossible de savoir si Trix est femelle ou mâle. Une chose est certaine: le lapin ferait n’importe quoi pour une dose. N’importe quoi. Ça le rend hystérique. Mince, blanc et émacié, il est le dur réveil du «peace end love». Dans le jargon de la prostitution, des “trix” veut dire “tirer un coup” pour de l’argent. Ça veut aussi dire “jouer un tour”. Encore cette notion de magie et de tromperie; l’illusion des fruits. Reste que le seul tour qui est joué ici, c’est que pour des milliers de mères prostituées et toxicomanes, cette céréale absolument sans valeur nutritive est le seul repas qu’elles pourront se mettre sous la dent. Et sous celle de leurs enfants illégitimes qui eux aussi, feraient n’importe quoi pour des Trix.
SONNY THE CUCKOO BIRD des Cocoa puffs:
Un oiseau complètement hystérique qui est «cuckoo» pour le bon goût des Cocoa Puffs.
Ce qu’il représente en réalité:
Le traitement réservé aux gens qui souffrent de maladies mentales. Vol au-dessus d’un bol de Cocoa Puffs. Cuckoo est le symbole inversé de Sam le Toucan, au même titre que Sugar Bear est opposé à Tony Tiger. Les États-Unis ne tolèrent pas les états seconds et les maladies mentales. Impossible de faire des membres productifs de la société, des soldats ou des travailleurs avec eux. Il faut donc les isoler, cacher leur hystérie. Ils sont la lie du système, la merde laissée derrière, à traiter comme telle. D’où l’aspect de ces céréales. Elles donnent des palpitations tellement elles sont sucrées d’ailleurs. Et elles font terriblement mal au palais.
SNAP, CRACKLE ET POP des Rice Krispies:
Les trois petits lutins aux noms multiples. La céréale la plus mangée dans le monde. Un dessert connu de tous. Le riz: l’aliment le plus consommé dans le monde. Chacun des trois lutins représente un des «sons» que produisent les céréales. Ah oui?
Ce qu’ils représentent en réalité:
LES TROIS GRANDES FORCES EUROPÉENNES AUXQUELLES LES ÉTATS-UNIS FURENT IDÉOLOGIQUEMENT RELIÉS, L’ITALIE, L’ALLEMAGNE ET L’ANGLETERRE. En fait, SNAP , CRAKLE et POP, ce sont les bruits que font les armes à feu qui ont servi à décimer tous ces villages jadis au nom d’une ressource, le riz. Regardez les costumes: le chef cuisinier italien, le lutin bavarois aux cheveux blonds et le militaire anglais. Rien à dire de plus.
CAP’N CRUNCH:
Un produit de Quaker. Un capitaine avec une cale de bateau pleine de céréales.
Ce qu’il représente en réalité:
La suprématie de l’homme blanc colonisateur, toutes catégories confondues. La pire céréale de toute. Une des meilleures au goût, comme la saveur sucrée de la victoire et du génocide. Cap’n Crunch est en quelque sorte la continuation de Snap, Crackle et Pop (d’où le «Crunch»). On remarquera par ailleurs qu’il est le seul humain du groupe, qu’il est armé et qu’il possède un terrible regard sanguinaire. Bordel… Il s’appelle «Capitaine Écrase» et son nom complet est Horatio Magellan Crunch. Capitaine Horatio Magellan Crunch. Tout dans cette céréale est une célébration ouverte de la gloire militaire: même un des fameux sifflets que l’on trouvait jadis au fond de la boîte est à l’origine du phreaking, le piratage des lignes téléphoniques, ancêtre du hacking moderne. Captain Crunch n’est pas un totem du tout. Il est les premiers Européens des conquêtes. Diamétralement opposé au pouvoir déjà installé des Corn Flakes. C’est aussi la céréale la moins nutritive de toutes…et douloureuse en plus: elle donne le «crunch mouth», une inflammation de gencives et du palais en raison de sa consistance qui rappelle le scorbut. En fait, le Capitaine est la seule céréale qui ne cache pas ses véritables intentions. Je viens pour m’installer, prendre vos richesses, vos aliments et je vais vous faire souffrir. Je vais vous «cruncher» jusqu’aux derniers.
Et j’en passe… Pourquoi croyez-vous qu’il n’y a plus de «surprises» dans le fond de vos boîtes? Parce que le travail de conditionnement est déjà fait. Plus besoin de ne rien mettre au fond pour vous avoir.
Manger des céréales n’est JAMAIS une activité innocente. C’est volontairement ou non une position idéologique et même spirituelle. Et si vous mangez des céréales «santé», des «Natures Crunch» ou autre chose du genre, grand bien vous en fasse. Vous avez échappé à UN des plus grands pièges. Je serais bien curieux de voir ceux auxquels vous n’avez pas échappé… Le Géant Vert? Aunt Jemimah? Tôt ou tard, ils vous auront.
Ouellette, Francis (2014). « Céréales Killers, symboles totémiques ». Pop-en-stock, URL : [https://popenstock.uqam.ca/articles/cereales-killers-symboles-totemiques], consulté le 2024-12-27.