Il est aussi possible de voir cette comparaison des humains aux zombies dans les insultes que les personnages s’attribuent. En effet, on remarque qu’ils emploient régulièrement l’insulte «degenerate» ou encore «retarded.» Ces adjectifs, que l’on utiliserait surtout pour définir les morts-vivants, sont mis en valeur par leur répétition dans le but de décrire les humains. De plus, on peut voir dès le début Da Capo faire un clin d’oeil à ce qui va se produire dans la suite du récit: «You’re an empty suit […] I don’t care if Jesus himself comes down from God’s heaven in a golden chariot to usher in the Armageddon. I want my money1!» En appelant un de ses hommes de main «corps vide,» il rappelle du même coup le zombie qui est, en quelque sorte, un corps n’ayant ni âme ni capacité de réflexion. Il fait aussi par la suite référence à la sorte de cataclysme qui vient de se produire sur Terre. Sans savoir qu’il y a dans la ville une invasion de zombies, il mentionne que même si l’apocalypse s’abattait sur terre, il aurait son argent. Les auteurs de XXXombies vont même jusqu’à inverser les rôles entre les hommes et les zombies. Il est possible de le voir à la toute fin de la série, alors que le grand-père raconte la victoire des morts-vivants sur la population de Los Angeles. Sa petite fille s’exclame: «Gee… Grampa, that was retarded2!» L’image du zombie qualifiant les humains de «retardés» est bien sûr lourde de sens…
Le troisième tome de la bande dessinée présente une image très marquante: alors que Burt est à l’hôpital, il cherche des médicaments pour calmer sa douleur. En pénétrant dans une pièce, il voit des infirmières zombifiées et tachées de sang dévorer des bébés3. Cette image représente très bien un certain pessimisme face à l’avenir. Dans ce cas-ci, la zombification de nouveau-nés pourrait symboliser l’instruction dès le plus jeune âge de cette importance de l’apparence et de la sexualité. Ces enfants grandiraient donc déjà infectés par ce «virus» qu’est la dépendance au sexe. On peut aussi voir que les auteurs imputent d’une certaine façon la responsabilité de cette transmission de la dépendance à sexualité trop hâtive aux parents. La représentation graphique du sein nu d’une des infirmières, symbole de la maternité et taché de sang, montre une certaine gangrène qui se serait installée dans les rapports parents-enfants. Cette image très puissante et violente est un bon exemple de la capacité de la bande dessinée de choquer son lectorat par des images fixes et souvent très détaillées. Dans ce cas-ci, le message est transmis par une représentation troublante pour le lecteur, qui le porte à analyser plus en détail. Julien Bétan écrit d’ailleurs: «le comic book permet de mettre en scène une violence graphique illustrée par l’épandage de tripes et de cervelles, tout en exprimant une critique aussi jubilatoire que cynique4.» L’auteur de Zombies! montre bien tout le pouvoir de ce média sur papier. La bande dessinée permet une forte illustration et une critique puissante qui touche le lecteur.
Les infirmières transformant en zombies dès leur naissance des bébés font aussi une référence à l’utilisation de la sexualité que font à outrance les publicitaires comme argument de vente chez les plus jeunes. Cette propension à vouloir faire de l’argent avec le sexe est d’ailleurs largement représentée dans XXXombies par le personnage de Wong. En effet, celui-ci mentionne à de très nombreuses reprises qu’il faut faire de l’argent: «If we don’t get ten hours of fucking on film this weekend, I’m outta business5.» Pour lui, la sexualité vaut de l’argent. Une situation illustre très bien ce besoin de s’enrichir aux dépens de l’industrie du sexe. Le troisième épisode de la tétralogie montre l’évasion du cinéaste asiatique d’entre les mains de la mafia. Libre, il cherche une façon de faire de l’argent. Empruntant les instruments de gardiens de fourrière, il s’introduit dans la Playboy Mansion dans le but de capturer des zombies et de les faire tourner des films pornographiques. Il s’exclame d’ailleurs: «Wong, you are a fucking genius […] get a ton of make up on ’em and shoot the world’s first A-list porn film6.» Cette manière de profiter des zombies pour faire de l’argent représente l’esprit capitaliste qui se cache derrière l’utilisation de la sexualité pour vendre des produits. La Playboy Mansion en est d’ailleurs un grand symbole de cette culture de la beauté plastique et de la sexualité. Mettre en image la déchéance de ce symbole de l’industrie du sexe permet encore une fois aux auteurs de la bande dessinée de détruire un de ses piliers. De plus, il est important de voir que les zombies sont littéralement traités comme des chiens, car Wong utilise des instruments de fourrière. Le producteur asiatique s’en sert pour faire ce qu’il désire. Ceci rejoint ce qu’écrit Bishop: «The implacable drive makes zombies the perfect allegorical figures for consumerism, an economic ideology that has important parallels with enslavement7.» Le personnage zombie vient donc ici participer à l’élaboration de cette critique de l’industrie pornographique en symbolisant le consommateur aliéné utilisé par les riches pour s’enrichir.
Si la critique de la trop grande place accordée à la sexualité dans la société par l’utilisation de morts-vivants est beaucoup plus fréquente au cinéma que dans la bande dessinée8, le média sur papier a tout de même produit plusieurs numéros sur le sujet, mais sans zombies. Ce n’est pas surprenant, car la bande dessinée se révèle un média très utilisé pour critiquer. Annie Baron-Carvais en fait justement mention dans son livre La Bande dessinée: «La BD critique les personnages fictifs ou non, représentant le pouvoir en place ou la société actuelle avec un humour caustique et subversif9.» Au début des années quatre-vingt-dix, écrit-elle, plusieurs dessinateurs ont commencé à dénoncer les «débordements sexuels des années 1970». Il est possible de nommer L’Avenir perdu de Goetzinger, Sida Connexion de Sicomoro et Moliterni, ainsi que Les Aventures du latex de Denis et Varenne10.
Il est possible, à ce sujet, de faire un léger écart à la lignée du texte pour mentionner la facette parodique donnée aux pages couvertures des numéros de la tétralogie. En effet, les dessins de Tony Moore, connu pour The Walking Dead, faisant la page couverture des tomes de la XXXombies, sont pour la plupart des parodies de couvertures de romans célèbres. Il est possible de prendre en exemples les deux derniers tomes. Dans le troisième, publié en février 2008, on voit une femme nager au-dessus d’une immense tête de zombie, mâchoire grande ouverte, prête à se refermer sur elle. Il est impossible de ne pas y voir un pastiche de la célèbre page couverture de Jaws, écrit par Peter Benchley, en 1974. De la même façon, le dernier tome de la série présente Da Capo, le chef de la mafia, zombifié et dessiné de face, dont les vêtements ressemblent en tout point à ceux portés Marlon Brando lorsqu’il interprétait en 1972 le fameux Don Vito Corleone dans le Godfather de Coppola. On peut donc voir dans ces deux pastiches la reprise de deux succès des années soixante-dix de l’industrie cinématographique. Au-delà de ces pastiches, toutefois, il est important de constater la parodie du monde de la pornographie qui se cache à l’intérieur de la bande dessinée de Remender et Dwyer.
Si le zombie est largement utilisé dans XXXombies pour représenter la dépendance de l’homme à la sexualité, on peut constater dans la tétralogie une critique de l’industrie pornographique sous forme de parodie. En effet, les images de la bande dessinée rappellent grandement les films érotiques à petit budget. Les personnages sont grandement responsables de cet effet de parodie.
Il est important de débuter cette analyse du caractère parodique et humoristique de XXXombies avec l’apparence de la star du film pornographique de Wong, Jenny Mitchum. La jeune femme est grande et mince. Ses très courts vêtements mettent en valeur son petit tour de taille et la grosseur de sa poitrine. Son corps semble donc tout à fait modelé pour l’emploi. Toutefois, ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus incarnent une certaine image de vulnérabilité et de virginité. Thrust la qualifie d’ailleurs de «brand new11» dans le marché.
À ses côtés l’on retrouve le personnage de Scott. Jeune et chétif, il se laisse impressionner par les autres personnages. Ses taches de rousseur et son corps courbé font définitivement contraste avec l’apparence des autres. À son opposé, l’acteur vedette du film, Thrust, affiche une musculature développée dans un chandail moulant. Il est le stéréotype de l’acteur de films pornographiques. Il en profite d’ailleurs pour intimider Scott, quand il s’approche trop près de Jenny, ce qui lui vaut des reproches: «Maybe you outta ease off on the muscle juice, Jocko12.»
Les autres personnages se ressemblent et demeurent dans les stéréotypes. Les femmes, toutes grandes et minces, portent des vêtements révélateurs et aguichants. Les hommes, pour leur part, ont tous une grande stature. Vêtus de vêtements amples, ils exhibent une poitrine velue et de lourdes chaînes en or dans une encolure profonde et grande ouverte, ainsi que des bras musclés et poilus. Les hommes de la mafia italienne sont tous habillés sobrement. On les reconnait à leurs lunettes fumées et à leurs cheveux longs et noirs, lissés vers l’arrière. De plus, l’apparence des personnages de couleur noire du ghetto est aussi introduite dans le cliché des gangs de rue et des quartiers malfamés. Les quelques cases dans lesquelles on les retrouve les montrent, dans tous les cas, une arme à la main, prêts à attaquer.
Si, dans leur apparence, les personnages sont stéréotypés, ils le sont aussi dans leurs agissements. Il est possible de prendre en exemple l’acteur vedette du film de Wong. Thrust Johnson incarne le personnage type de la «brute sans cervelle.» Il impose sa force et ses décisions par ses muscles. Comme il le dit: «Thrust Johnson is rocket powered. ‘sides, steroids never hurt nobody12.» Dominant, il tente de garder son territoire contre Scott, qui est amoureux de Jenny. Se servant de ses muscles, il intimide le jeune homme en le poussant de sa grande stature. Lorsqu’il fait éclater la tête de Johnny-zombie, il force Scott à venir avec lui pour enterrer le corps. La même chose se produit lorsque dans la ville, la voiture se coince dans un amas de corps zombifiés. Il dit alors: «Somebody’s gonna have ta get out an’ clear ’em away… One guess who, Needledick13.» Ainsi, le personnage de Thrust constitue l’homme fort qui intimide les autres par sa force pour avoir ce qu’il désire. Il prend donc la place de l’acteur fort, mais stupide.
Au contraire, Scott incarne le rôle du jeune homme frêle et intimidé. Bien que sa place dans le studio de tournage ne soit pas vraiment précisée, il semble être responsable du matériel. Il est donc dans l’ombre, derrière la caméra. Lorsqu’on le fait passer sur scène par manque d’acteurs, il est déstabilisé et perd encore plus de sa confiance. Sa personne fait totalement contraste à la force de Thrust et des autres acteurs. Son manque de virilité est très régulièrement représenté par une érection non contrôlée ou une éjaculation précoce, dans les premières pages de la bande dessinée, ce qui fera dire à l’acteur vedette: «He blew before he even touched her14!» Des plaisanteries à ce sujet reviennent assez régulièrement dans la tétralogie, ce qui rappelle le stéréotype de la masculinité par les performances sexuelles. Il est intéressant de voir que son personnage change au cours du récit. En effet, il fait preuve d’un grand courage, notamment en tentant de sauver Brandy, actrice prisonnière d’une voiture ou encore en sauvant Jenny des zombies dans la piscine du high school. Une fois de plus, il est possible de voir l’image typique du héros sauvant les filles et remportant leur coeur.
La starlette voit aussi son personnage évoluer au fur et à mesure que l’on tourne les pages. Dans les trois premiers tomes, elle incarne la jeune femme nouvelle dans le métier et qui a peu d’expérience en pornographie. Wong, la traitant comme une idiote, lui dit d’ailleurs au tout début du récit: «Thinkin’ ain’t what yer here for… Enough gawkin’15!» Son père justifie le fait qu’elle est arrivée dans le monde du sexe par le fait qu’on l’a forcée16; une certaine façon de protéger sa pureté. De plus, l’empathie qu’elle a pour Scott et ses problèmes érectiles contribuent à lui donner l’image de la femme douce et presque angélique. En apprenant que le jeune homme est encore vierge, elle s’oppose à une actrice, Coco, qui lui dit: «I gotta be honest… I think that is some sad shit…,» en le couvrant d’une couverture et en lui disant que sa virginité est magnifique17. Jusqu’à ce moment, la jeune femme transmet l’image d’une certaine pureté – elle n’a jusqu’alors eu dans le récit aucune relation sexuelle. Toutefois, une cassure s’observe tout de suite après alors que ce reflet se perd, en quelques cases, dans le récit de ses expériences sexuelles. Alors qu’elle raconte qu’elle a été violée dans son enfance par un de ses oncles, elle s’allume une cigarette en disant: «Sorry, son of a bitch… My old man cut off his face for what he did to me12…» S’en suit dès lors une orgie durant laquelle elle dépucèle Scott. Comme dans le cas du jeune homme, les événements changent leur personnalité, leur permettant de sortir des stéréotypes pour se révéler dans un autre rôle.
Il est aussi important de prendre en compte la place du père dans l’histoire. Il reflète l’image et prend le rôle du héros américain. Conduisant des camions lourds, il est toujours représenté une cigarette à la bouche, avec une arme à la main et de grosses lunettes fumées à la figure. Grand et fort, il arrive, le regard impassible, au dernier moment pour sauver plusieurs personnages. On le voit d’ailleurs affronter l’ancien proxénète de Jenny, qui tient une arme collée à son visage. Placide, il déstabilise le chef de gang et obtient les informations dont il a besoin. Trois cases démontrent d’ailleurs très bien cette guerre de nerfs. La première présente le proxénète, l’arme à la main et l’air confiant. La seconde, qui affiche le visage du héros aux nerfs d’acier avec l’arme collée au front, est suivie de la dernière, montrant l’assaillant, le visage complètement déconfit à cause des menaces proférées par Mitchum18. Cette succession d’images permet clairement au lecteur d’assister au combat mental entre les deux hommes.
Tous ces personnages correspondent tout à fait aux stéréotypes que l’on peut retrouver dans les films à petit budget. Le scénario donne donc une certaine impression de satire de ces films pornographiques présentant une grande et mince femme blonde pour laquelle se battent divers hommes. De la même façon, les dessins représentant les personnages participent grandement à la construction de cette parodie et des stéréotypes.
On remarque dans les quatre tomes de XXXombies de nombreuses références à la religion et aux péchés. Le bris de la virginité est un des thèmes récurrents de cette bande dessinée. En effet, le couple Scott et Jenny incarne tout à fait cette idée de la pureté. Le premier par l’absence de relations sexuelles de Scott, et la seconde par les agissements de la jeune femme à son égard. Wong met d’ailleurs à profit ce lien qui les unit dès le départ, en demandant à Scott de faire la première scène avec Jenny: «I want to pervert the innocence they just had together19.» Il est possible de voir dans cette scène la volonté du réalisateur, qui est un représentant de l’industrie pornographique, de salir une certaine virginité. Celle de Scott reste d’ailleurs un problème constant pour le jeune homme. On le voit justement, au dernier tome, prier Dieu de lui permettre de se faire dépuceler avant de mourir20. Sa demande va être exaucée, se voyant accorder sa première relation sexuelle juste avant de se faire assassiner par les hommes de Da Capo.
C’est aussi à Dieu qu’on impute la responsabilité de l’arrivée des zombies à Los Angeles. Après l’écrasement de l’avion, en voyant tout le monde se relever, un des premiers sauveteurs sur les lieux s’exclame: «It’s a goddamned miracle21!» Bien sûr, ils ne savaient pas que les «survivants» étaient transformés en zombies. De plus, au troisième quart de la tétralogie, on peut voir Scott, Jenny, Coco, Moana et Burt, les cinq derniers survivants, regarder du haut de la colline de Hollywood leur ancienne ville en feu et infestée de morts-vivants. Se demandant ce qui a bien pu causer cette invasion, Coco pense à Dieu: «Like Sodom and Gomorrah, He’s wiping this place out22.» En faisant référence à Sodome et Gomorrhe, elle rappelle ces deux villes qui, à cause des habitudes débridées de leurs habitants, ont été détruites par Dieu dans la Bible. Une fois de plus, la cause de la zombification de la ville semble être la dépendance au sexe de l’homme.
Il est possible de penser, à la vue de ces derniers aspects de la bande dessinée, que XXXombies tient un discours moraliste religieux. Toutefois, les auteurs semblent plutôt affirmer que le genre humain en entier est affecté par cette dépendance, et pas seulement les impies. En effet, Remender et Dwyer attaquent très clairement les institutions religieuses dans le dernier tome. En se réfugiant dans une église, qui paraît être un lieu de protection et de sureté, les acteurs en fuite rencontrent le responsable de l’église. Celui-ci les accueille à bras ouverts, alors que Scott, parti un peu plus loin, fait la demande à Dieu de ne pas mourir vierge. Entendant cette demande, une nonne tente de le violer, lui disant: «I’m not asking, I’m telling… Let nun suck. […] Let me do God’s work23.» La femme, vraisemblablement infectée par le virus zombie, montre donc que les membres de l’Église ne sont pas non plus à l’abri de ces pulsions.
«Les bons films de zombies nous révèlent la situation de détresse dans laquelle se trouve notre société aujourd’hui. Ils nous questionnent sur les bases mêmes de la société24,» a écrit un jour Robert Kirkman. Cette citation de l’auteur de The Walking Dead démontre très bien l’esprit qui entoure les oeuvres de zombies. Les morts-vivants représentent bien l’homme aliéné en proie à ses désirs à combler à tout prix. Rick Remender critique cette dépendance de l’humanité à la sexualité pour construire sa bande dessinée. Pour ce faire, sa tétralogie profite de la symbolique du mort-vivant et de la dégradation du corps. Par des images violentes et puissantes, Remender choque le lecteur et le pousse à réfléchir sur l’état actuel de la société. De plus, par l’apparence des personnages et leur caractère stéréotypé, l’auteur de XXXombies propose une parodie de l’univers de la pornographie à Los Angeles. La reprise du symbole du mort-vivant à des fins autres que celle de critiquer la consommation n’est certainement pas unique à Remender. À l’instar du bédéiste, plusieurs artistes ont utilisé l’image du zombie pour représenter la dépendance humaine à l’industrie pornographique. En Italie, plusieurs réalisateurs ont tourné durant les années 80 des films pour adultes dans lesquels figuraient des revenants. Aux États-Unis, on peut notamment nommer le studio de cinéma indépendant Troma, qui compte dans ses réalisations quelques films alliant sexualité et zombies, tels que Zombie Strippers, produit en 2008, la même année que XXXombies. L’attrait pour le zombie et sa symbolique de l’aliénation ne semble ainsi pas vouloir s’éteindre pour le moment, laissant présager d’autres œuvres du genre dans les années à venir.
1. Ibid., p.11.
2. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part four of four). Op cit., p.25
3. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part three of four). Op.cit., p.13
4. BÉTAN, Julien et Raphaël CORSON. Zombies! Lyon: Les Moutons électriques, 2009. p.288
5. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part one of four). Op.cit., p.7
6. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part three of four) Op.cit., p.19
7. BISHOP, Kyle William. Op.cit., p.139
8. Ibid., p.165
9. BARON-CARVAIS, Annie. La Bande dessinée. Presses universitaires de France: Paris, 2007. p.110.
10. Ibid., p.118
11. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part one of four) Op.cit., p.8
13. Ibid., p.23
14. Ibid., p.11
15. Ibid., p.7
16. Ibid., p.14
17. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part four of four). Op.cit., p.8
18. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part two of four) Op. cit., p.9
19. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part one of four) Op. cit., p.8
20. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part four of four) Op. cit., p.4
21. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part one of four) Op. cit., p.5
22. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part three of four) Op. cit., p.23
23. REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies (Part four of four) Op. cit., p.5
24. KIRKMAN, Robert; cité dans Julien Bétan et Raphaël Corson. Op.cit., p.288
BARON-CARVAIS, Annie. La Bande dessinée. Presses universitaires de France: Paris, 2007. 127 pages.
BÉTAN, Julien et Raphaël CORSON. Zombies! Lyon: Les Moutons électriques, 2009. 342 pages.
BISHOP, Kyle William. American Zombie gothic. Caroline du Nord: McFarland and Company, 2010. 239 pages.
FARSON, Daniel. Vampires, Zombies and Monster Men. New York: Doubleday and Company, 1976. 143 pages.
GOIMARD, Jacques et Roland STRAGLIATI. Histoires de morts-vivants. Paris: Pocket, 1977. 405 pages.
REMENDER, Rick. Crawl Space: XXXombies. Berkeley: Image Comics, octobre 2007- avril 2008. 4 vols.
Pauzé, Pierre-Luc (2013). « XXXombies, chroniques de la zombietude sexuelle (2) ». Pop-en-stock, URL : [https://popenstock.uqam.ca/articles/xxxombies-chroniques-de-la-zombietude-sexuelle-2], consulté le 2024-12-11.