Davantage posture par rapport au réel que notion clairement établie, l’humour ne se résout pas à une définition univoque. Entre comique et esprit, proche de l’ironie et touchant parfois au cynisme, il joue sur l’équivoque, mettant en tension un fond en apparence normal dans une forme faussement sérieuse. Dans la tradition des chansonniers, les «chansons du dimanche» d’Alexandre Castagnetti (Alec) et Clément Marchand jouent sur ce paradoxe. Basées sur «des musiques accessibles, à la structure simple, au rythme basique et à la mélodie facile à retenir2», leurs chansons sont des créations originales. Ils composent d’abord la mélodie qui s’invente, selon les dires d’Alec, dans une «partie de ping-pong», «jusqu’à ce qu’on tombe sur un couplet-refrain harmonieux selon nous3». Les orientations sont variées, de la gigue moyenâgeuse (La Gigue des Gueux4) au zouk love (Nicolas et Rachida (S2 E10)), en passant par le jazz manouche (Tu votes (S1 E10)), le rap (T’es à la Matmut5), le reggae (Coca Light (S1 E12)), ou encore le R&B (Quête de buzz (S1 E14)). La structure est analogue d’une chanson à l’autre: deux couplets, un refrain, un passage en partie improvisé, où le chant laisse souvent la place à la parole, puis un final qui reprend le refrain. Alec, voix lead, est au clavier et Clément seconde voix à la guitare.
Leurs chansons traitent du quotidien ou de l’actualité politique et sociale. En avril 2007, alors que les violences policières augmentent, les deux artistes proclament l’hymne à la paix «shalom alachem» pour célébrer les «gardiens de la paix (S1 E11)». À l’heure des bilans chiffrés des ministères, en janvier 2009, sur un air entraînant de comptine pour enfant, ils proposent un «jeu de loi (S4 E13)» qui réalise le décompte du nombre d’expulsés par le cabinet de Brice Hortefeux. Les chansons faussement innocentes se teintent d’ironie, et un hiatus apparaît entre la noirceur du fond et la tonalité alerte et festive de la forme musicale. Comment la musique s’inscrit-elle et agit-elle dans le procédé humoristique?
Cet article s’appuie sur les quatre premières saisons réalisées entre février 2007 et avril 2009 -en y incluant les chansons d’intersaisons et celles composées pour des festivals-, ce qui représente un corpus de 65 chansons6.
Malgré les divergences de point de vue quant à une définition précise de l’humour, les théoriciens s’accordent sur un point: c’est «sous l’apparence tranquille de la normalité que se présentent le discours ou l’attitude humoristiques» (Sternberg-Greiner, p.229). Pour Alec, cette normalité se retrouve dans la définition même des chansons, qu’il compare à un «café du commerce» soit «la philosophie de comptoir, la sagesse populaire, une espèce de bon sens à toute épreuve, souvent exprimé au travers d’une plaisanterie, non dénué d’une certaine poésie, et qui s’applique à tous les sujets d’actualité ou de l’air du temps, y compris les plus sérieux8». Ce «café du commerce» se concrétise d’abord dans les thèmes des chansons, qui traitent de la vie quotidienne et jouent sur les lieux communs: Vite vite vite (S2 E6) évoque le rythme effréné de la vie active, Comme un lundi (S1 E4) la difficulté à se motiver au travail en début de semaine, tandis que Sunday Song (S1 E3) s’amuse des clichés de l’american way of life. L’écriture qui en découle est dictée par le bon sens: Super Pouvoir d’Achat annonce «si j’avais le pouvoir d’achat, je devrais payer plus d’impôts/, mais en fait je paierai moins d’impôts parce que les impôts c’est bien fait» (Super Pouvoir d’Achat, S2 E11), Le beaujo en vélib regorge de constats ou de sentence proches de la brève («Si Zizou il est ballon d’or, René il est ballon de rouge», Le beaujo en vélib, S2 E9). Les sujets trouvent également leur source directe dans l’actualité, en s’appuyant sur un événement advenu dans les jours précédant l’écriture –Cherche encore (S4 E13) est composée pendant le mouvement de grève universitaire du printemps 2009-, ou des sujets de société telle OGMan (S1 E13), qui renvoie au débat sur les OGM. Parce que l’actualité est cyclique, et grâce à leur ouverture, ces chansons sont régulièrement réactualisées par les débats et les modes, ce qui leur permet de ne pas s’enfermer dans un temps circonstanciel.
Fondées sur quelques accords et sans fioritures, basées sur les rythmes préenregistrés du synthétiseur d’Alec (un Yamaha PSR-140), les chansons s’inspirent de tous les courants et les mouvances musicales, sans préférence pour un style ou un pays. Cette diversité se retrouve dans les propos des chanteurs qui identifient leurs «incontournables» dans «Mozart, Back, Chopin, Freddie Mercury, Pixies, ABBA, Mickaël Jackson, Mike Post, et Bénabar» pour Clément, auxquels Alec ajoute «Verdi, James Brown, les Beatles, Bob Marley, Stevie Wonder, Supertramp, Chantal Goya et bien d’autres» (C. Marchand et A. Castagnetti. p.159) Si la liste établie prête au sourire par son hétérogénéité, inscrivant sans distinction de grands compositeurs classiques et des chanteurs populaires au même niveau, dépassant le seul effet comique, elle renseigne sur l’esprit qui anime la composition des chansons, qui «s’adressent à un public très large, de tout âge et de toute classe sociale9». Vite familières, elles contribuent elles aussi à créer «l’apparence tranquille de normalité».
Pour que l’humour existe, en plus du fond de normalité, la création d’un groupe s’avère nécessaire puisque, comme le souligne Robert Escarpit, «le paradoxe humoristique n’existe que pour les membres du groupe social acceptant cette évidence» (Escarpit, pp.89-90). Pour Alec et Clément, la constitution du groupe passe d’abord par l’institution d’une forme facilement repérable. Les Chansons du Dimanche sont des séquences de deux à trois minutes. Le réalisateur Damien Nacaud effectue un zoom-dézoom sur un détail au lointain, entre les deux chanteurs. Lorsque ces derniers sont cadrés, Alec lance «salut, c’est la chanson dimanche!» et «la pêche!». Clément tousse puis la chanson commence. À la fin, tandis que Clément continue à jouer et à chanter, Alec remercie les spectateurs puis leur donne rendez-vous le dimanche suivant. Postées toutes les semaines sur internet, elles instaurent un rendez-vous hebdomadaire. Le rapport frontal et l’adresse directe, l’usage des parlers courant et familier, l’emploi du tutoiement et du pronom «on», la reconnaissance immédiate liée à l’affirmation d’une identité forte, rassemblent.
De plus, les deux chanteurs misent sur la simplicité, l’authenticité et la proximité, qu’Alec attribue à leur «allure», à leur «style dépouillé, comme si on était les copains de tout le monde» et au fait qu’ils «ne trichent pas» (s.a. 2009). La majorité des séquences se déroule sur un trottoir, avec très peu d’accessoires. Le choix de la rue témoigne de la volonté de faire du «brut», d’ «être au milieu du monde dans lequel on vit» (s.a. 2010), ce qui les rapproche de leurs spectateurs. La simplicité tient également aux contraintes de temps que les artistes s’imposent. La création et l’enregistrement d’une chanson inédite par semaine en seulement quelques heures confèrent aux séquences une grande liberté, comme en témoignent les passages en partie improvisés, où les deux partenaires jouent à se surprendre. L’urgence crée en outre des lapsus savoureux; dans «Nicolas et Rachida», Clément prononce le nom de «Cécilia», ex-femme de Nicolas Sarkozy, au lieu de «Rachida», et Alec enchaîne avec «oublie Cécilia11». Non fixées complètement, les chansons restent en mouvement. Parfois bancales (les fausses notes sont conservées), elles donnent l’impression qu’elles s’inventent en même temps qu’elles sont chantées, ce qui les rend vrais. Leur jeu alerte et souriant y est également pour beaucoup; Clément multiplie les mimiques tandis qu’Alec soutient le rythme avec son bras droit, le poing fermé ou la main ouverte lors des phases d’excitation. Quel que soit le thème de la chanson ou la phrase qu’ils prononcent, ils sont dans une telle énergie communicative qu’ils déclenchent au minimum un sourire et mettent dans un état de «bonne humeur». Cette expression, titre de la première chanson de la première saison, est devenue l’un des éléments moteurs de La Chanson du Dimanche. La trame narrative est simple: une personne a connu des déboires qui lui ont fait perdre la «foi», ses «cheveux», ses «potes», ses «dents», ses «yeux» et sa «femme», mais a conservé l’essentiel, sa «bonne humeur», proclamée plus de vingt fois en quarante vers. Elle est un hymne à l’enthousiasme, à l’optimisme à toute épreuve. En ouverture de la carrière de La Chanson du Dimanche, elle se présente comme une profession de foi, un hymne à la joie, et l’exclamation «la pêche!» prend valeur de credo.
Prenant place au milieu du monde dans lequel ils vivent, prônant la «bonne humeur», leur «authenticité» et leur «simplicité» leur assurent une écoute. Lorsque l’humour porte sur les travers des Français, la musique participe à son mouvement, induisant le décalage. Ils peuvent alors forcer le trait et se diriger vers la satire.
La satire se fonde sur la critique de la politique, des mœurs, de la morale, d’un individu particulier ou d’un groupe. Dans cette pratique, le gouvernement de Nicolas Sarkozy est le premier à s’attirer les faveurs des deux artistes, le chef de l’État en tête. Coca-Light attaque directement le président, Nicolas et Rachida s’appuie sur les rumeurs d’une liaison avec Rachida Dati, La Marulanda sur la politique décomplexée. Les collectifs et les catégories socio-professionnelles ne sont pas oubliés. Composée pour être interprétée lors de la remise des Césars en février 2009, Bienvenue chez les Chiants (S4 E9) en brocarde l’institution:
Bienvenue chez les chiants qu’on ne peut contredire/ Sans être bâillonné par tous ceux qui les cirent/ Bienvenue chez les chiants où il est de bon ton/ De caresser le poil à coups d’oxymorons/ De chiasmes, de litotes et d’allitérations. (Id.)
La justesse de la satire est telle que l’après-midi, après avoir répété leur chanson en vue du direct du soir, la production s’effraie, les deux chanteurs sont remerciés et déprogrammés. Par la communauté et le contrat humoristique établis entre les chanteurs et leurs spectateurs, la satire, qui «repose sur la distinction entre celui qui rit et celui dont on rit, et non plus sur la communion entre moqueur et moqué» (Bray, 360) – ce que réalise notamment le comique -, fonctionne. Comme précédemment, la musique «pêchue» et la bonne humeur portent l’ironie, elles signalent l’anomalie et dévoilent le paradoxe humoristique.
Entre le risque de porter une critique gratuite et celui de passer pour des donneurs de leçon, l’exercice de la satire s’avère périlleux. Alec et Clément l’évitent cependant car ils ne se placent jamais en surplomb de ce(ux) qu’ils attaquent ou de ceux à qui ils s’adressent. L’image ci-contre reprise de la mise en scène de la photographie officielle du Président Sarkozy, en témoigne. Devant les drapeaux européen et français avec une bibliothèque en fond, vêtus de costumes sobres, en position de trois-quarts, Alec et Clément arborent un regard confiant et déterminé. Réalisée pour annoncer un de leurs concerts, l’affiche qui en découle titre en en-tête «La Chanson du Dimanche à l’Élysée» et inscrit en pied «concert le 12 décembre à l’Élysée Montmartre». L’imitation est complète, précise, jusqu’au timbre poste sur le col qui remplace la décoration présidentielle. L’attitude est celle de l’ironiste. Plutôt que d’opter pour la parodie, qui agit par transformation en reprenant le style de l’hypotexte, mais en en changeant le sujet, ils préfèrent le pastiche, qui conserve les caractéristiques majeures du style de son hypotexte (Genette, 13). Cette subtilité dans le choix du traitement les inscrit dans l’attitude de l’humoriste, définie Robert Escarpit:
Le sense of humour –que nous trahissons abominablement en le traduisant par «sens de l’humour»- c’est exactement cela: c’est cette conscience naturelle, intuitive, mais lucide et délibérément souriante de son propre personnage caractériel au milieu d’autres personnages. (26)
Cette posture leur permet l’auto-dérision. Dans Cherche Encore (S4 E13), après avoir listé nombre des faits à «chercher encore», ils annoncent «cherche encore comment faire croire aux gens n’importe quelle connerie en tapant dans ses mains» (Id.). En s’inscrivant au premier plan dans ce qu’ils condamnent ou dénoncent par ailleurs, ils tiennent une vraie posture humoristique, qui inclut «la capacité plus particulière qu’ont certains individus à rire de soi» (Blondel, 30).
Tous ces éléments, de la communauté à l’auto-dérision, donnent une vraie légitimité aux artistes. Lors des concerts, même lorsque l’espace scénographique ne s’y prête pas, avant leur entrée sur le plateau, le rapport entre la scène et la salle est déjà presque acquis. La réussite de la relation est évidemment liée à leur maîtrise de la scène, éprouvée pendant plusieurs années avec le groupe de chansons franco-italiennes Beaubourg, mais pas seulement. Leur posture humoristique est telle qu’ils parviennent à créer des situations totalement inattendues. En décembre 2007, alors que le séjour de Mouammar Kadhafi en France suscite de nombreuses polémiques, ils proposent une standing ovation en son honneur (S2 E13). Cette standing ovation est reprise en concert par des centaines de personnes. Pour Nicolas et Rachida, ils parviennent à faire reprendre les deux prénoms du Président et de la Garde des Sceaux et ministre de la Justice sur une tonalité de zouk love. Qu’ils participent à des festivals apolitiques ou à la Fête de l’Humanité de Bordeaux en mai 2009, avec un public constitué en majorité de sympathisants du parti communiste, l’effet est le même. Par la musique et leur performance scénique, ils réussissent à mettre des milliers de spectateurs dans un état d’exaltation rare.
Pourtant, malgré la constitution d’un groupe, la clarté de leur posture, le consensus peine parfois à se réaliser. En effet, sous cette «apparence tranquille»des décalages éclatent, liés au propos. Dans un premier cas, Jeu de loi (S4 E3), citée en introduction, est créée le 18 janvier 2009, juste après que les bilans chiffrés des ministères soient rendus publics. S’appuyant sur le nombre de reconduites d’étrangers sans-papiers à la frontière, réalisé par le cabinet de Brice Hortefeux, alors ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire13, le «jeu»démarre par l’exposition des règles ou plutôt des «lois»:
Carte chance, tu te maries, tu peux rester pour toujours/ Carte centre de rétention, tu passes un tour/ Carte sortie de l’école, au revoir papa, c’est pas de veine/ Où est ta carte ADN? Tu l’as perdue dans la Seine
Les alternatives des cartes se fondent sur les lois relatives à l’obtention de la nationalité française et font écho à l’actualité et aux débats sur les sans-papiers et les regroupements familiaux, permis ou invalidés selon des tests ADN. Ensuite, sur un air entraînant de comptine pour enfant, le refrain compte le nombre d’expulsés («1 et 1 font deux, 2 et 1 font 3, 29 796 fois»), puis le couplet suivant prend la tournure d’un problème de mathématiques:
Soit un car de Roumains, expulsés volontaires/ Qui part de Paris le 23 brumaire/ Sachant que le car roule à 80 maxi/ À quelle date les Roumains seront-ils de retour à Paris?
Les chanteurs ne font pas le choix d’une musique anempathique, qui resterait indifférente à l’action, sans porter de jugement, ils conservent une musique alerte. Jouant le contrepoint, un malaise apparaît entre les propos terribles et la tonalité alerte et festive de la forme musicale. La musique, s’inscrivant ainsi dans le procédé humoristique, porte l’ironie et fait éclater ou révèle l’horreur de la réalité, en même temps qu’elle provoque l’incertitude. Le «double jeu»des artistes «ne tient pas seulement à l’ambiguïté des mots, mais à l’incertitude quant au registre de ton, de l’attitude, du style» (Blondel, 26-27). L’auditeur ou le spectateur ne sait plus comment recevoir la proposition, les artistes sont-ils pour ou contre ces expulsions, penchent-ils pour la droite ou pour la gauche?
Le doute établi, le passage suivant tire vers l’humour noir.
Le dialogue porté renvoie à la situation réelle. Il dénonce par l’ironie la déshumanisation, qui transforme l’homme en chiffre pour les institutionnels. Les trois dernières phrases, reprises dans les médias à l’époque, portent l’attention sur l’exagération des chiffres et cachent le fond, les expulsions. L’insert de réel frappe fort, s’attaquant à la droite, porteuse des chiffres, à la gauche, qui s’est focalisée sur le grossissement, ainsi qu’aux médias qui ont relayé l’information sans la discuter. L’innocence du jeu vole en éclats, la bonne humeur fait place au rire en demi-teinte, et la blague du «théorème d’Hortefeux» peine à ramener vers la joie. L’enthousiasme s’altère. Le rire «long» de l’ironie, qui montre ses intentions, fait place au rire «court» de l’humour, car, suivant Clément Rosset, «rien ne donne à penser qui puisse justifier le rire, offrir à la consommation intellectuelle un aperçu quelconque sur la signification et la portée de la destruction» (Rosset, 174). Ce rire «court» est infiniment plus dévastateur que le rire «long» car il frappe fort, ne livrant aucune explication susceptible d’apporter un éclairage sur l’attaque qu’il porte, contrairement à l’ironie, qui offre une place au débat ou à la réflexion. Puissance de destruction du sens, il n’offre aucune réponse. À «longue portée», il résonne a posteriori.
S’appuyant sur «l’apparence tranquille de la normalité», l’humour fonctionne si la communauté est constituée. Pour être entendu, l’humoriste révèle sa posture et signale l’anomalie qu’il dénonce. Bien que La Chanson du Dimanche remplisse ces conditions, l’équivoque demeure parfois, liée à la musique. Cette pratique permet aux artistes de frapper fort, en donnant au propos un éclairage inhabituel.
Pour Robert Mehl, «l’homme du sérieux, à cause de cette gravité, estime qu’on ne peut pas jouer avec cette existence, qu’en toute circonstance nous devons témoigner de notre compréhension et de notre gravité». Il se distingue de «l’homme de l’humour» qui «estime qu’au contraire, pour éviter que cette gravité nous accable, il faut se hâter d’en rire» (Mehl, 25). L’enthousiasme, la «pêche» et la «bonne humeur» proclamés par La Chanson du Dimanche deviennent une posture possible face à la violence du monde.
1. Phrase liminaire des séquences de La chanson du dimanche. Toutes les chansons sont consultables sur le site des artistes à l’adresse http://www.lachansondudimanche.com/
2. A. Castagnetti, lors d’un entretien réalisé le 2 juin 2009, inédit.
3. Id.
4. Saison 4, épisode 5. Les références des épisodes seront désormais inscrites au sein du texte selon la méthode (S4 E5).
5. Bonus intersaison, entre les saisons 4 et 5, composée spécialement pour le Printemps de Bourges.
6. À partir de la saison 5, La Chanson du Dimanche prend part à l’émission télévisée 7 à voir, tous les dimanches soirs sur France 3, et la forme des séquences évolue, composée de deux parties, une télévisée et l’autre réservée aux internautes.
7. Réformez ma vie, S3 E9.
8. A. Castagnetti, entretien, op. cit.
9. A. Castagnetti, Entretien, op. cit.
10. S1 E18.
11. Il est d’ailleurs à noter que ce lapsus a été supprimé lors de l’enregistrement de la chanson pour l’album, quelques semaines plus tard.
12. S4 E12.
13. Il devient ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville le 15 janvier 2009.
CASTAGNETTI, Alexandre et MARCHAND Clément, 2007-2009, Chansons du dimanche, http://www.lachansondudimanche.com/
BLONDEL, Eric, 1998. Le risible et le dérisoire. Vendôme: PUF, «Perspectives critiques».
BRAY, René, 1979. Molière homme de théâtre. Mayenne, Mercure.
CASTAGNETTI, Alexandre et MARCHAND Clément, 2009. La Chanson du dimanche, le livre. La Flèche: «Pocket».
ESCARPIT, Robert, 1960. L’humour. Paris: PUF.
GENETTE, Gérard, 1982. Palimpsestes, La littérature au second degré. Saint-Amand-Montrond: Seuil, «Essais».
MEHL, Roger, 1971. Les attitudes morales. Paris: PUF.
ROSSET, Clément, 1971. Logique du pire, éléments pour une philosophie tragique. Vendôme, PUF
STERNBERG-GREINER, Véronique, 2003. Manchecourt: Le comique, Garnier Flammarion.
s.a.2009, «Lendemains de buzz: la “Chanson du Dimanche”», Télérama, en ligne. http://www.telerama.fr/techno/la-chanson-du-dimanche,43376.php
s.a. 2012«Le duo meilleur marché de l’été est un phénomène Internet et sort un dvd», Télémoustique, en ligne. http://www.telemoustique.be/tm/chroniques/5196/la-chanson-du-dimanche.html
Duret-Pujol, Marie (2013). « Complexité et équivoque de l’humour musical ». Pop-en-stock, URL : [https://popenstock.uqam.ca/articles/complexite-et-equivoque-de-lhumour-musical-lexemple-de-la-chanson-du-dimanche], consulté le 2024-12-26.