On était très nombreux, dans ma génération, à attendre le samedi soir presque religieusement pour avoir accès à un petit bout de foufoune. Ça nous rendait complètement fous, se souvient Samuel Archibald. Déjà, il y avait un registre d’attente qui est complètement disparu. Il y avait, dans le récit, des mises en scène de l’initiation, de l’échange, qui, pour moi, sont un peu disparues des représentations contemporaines de la pornographie. Et, qu’on le veuille ou non, l’érotisme impliquait un discours.»