Sorti de l’imaginaire de la romancière Mary Shelley au début du 19e siècle, le monstre de Frankenstein a été ressuscité à maintes reprises dans diverses formes d’art. Comment une créature littéraire cousue de pièces de cadavres a-t-elle pu tant frapper l’imaginaire?
À l’occasion de la sortie du film Moi, Frankenstein, du réalisateur Stuart Beattie, Antonio Dominguez Leiva consacre sa chronique «Culture pop» sur «Plus on est de fous, plus on lit» (ICI Radio Canada Première) à cette question.
Bibliographie (très) sommaire:
– Frankenstein ou le Prométhée moderne, Mary Shelley, Folio, 1818.
– Frankenstein, Gilles Menegaldo, Autrement, 1998.
– Frankenstein, l’humain et l’inhumain, Paul-Laurent Assoun, Ellipses, 1998.
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Frankenstein, du Prométhée moderne au phallus indestructible sur Popenstock.ca