Le commissaire Maigret, héros de la série du même nom de l’auteur Georges Simenon, semble se retrouver à l’orée du roman noir, en conservant toutefois plusieurs éléments du roman à énigme et en laissant entrevoir la naissance du sous-genre « police procedural ». Le policier fait face à des crimes du quotidien et les épluche en plongeant sans retenue dans le monde de la victime. C’est ainsi qu’il cherche à comprendre réellement la psyché humaine, qui lui révélera la clé du secret de l’énigme. Nous tenterons ici de mettre en lumière la manière dont Maigret mène les étapes de son enquête en les mettant en relation avec la recherche qualitative en sciences humaines et l’analogie chercheur-enquêteur. Nous analyserons ces thèmes à partir des données offertes par le roman Maigret et le corps sans tête, paru en 1955. Tout au long du texte, nous ferons ressortir la grande sensibilité et l’empathie avec laquelle le commissaire mène ses recherches. Pour ce faire, tout d’abord, nous tenterons de situer Maigret comme détective dans une typologie des romans policiers afin de mieux cerner la singularité de ses méthodes. Puis, nous inspecterons les étapes qui s’échelonnent tout au long de l’enquête de Maigret et la manière dont la quête de la compréhension psychique de l’humain s’y imbrique. Finalement, nous soulignerons les rapprochements entre la démarche de Maigret face à l’énigme du crime et la méthode de recherche qualitative en sciences humaines, possiblement abductive, quoique forcément inductive de surcroit.
La méthode de Maigret se détache de celle de ses prédécesseurs de plusieurs manières. Tout d’abord, il n’accorde que peu d’importance aux indices matériels et s’attarde plutôt aux indices existentiels. Contrairement à Sherlock Holmes ou Hercule Poirot, ancrés dans un paradigme positiviste, ce ne sont pas les empreintes dans la boue qui le guideront vers le coupable, mais plutôt des perceptions, des sensations et une minutieuse observation des suspects. Els Wouters, dans son ouvrage Maigret : je ne déduis jamais, explique :
[…] Maigret « collectionne » des impressions de lieux, d’atmosphères où se meuvent les personnages. Des bruits, des odeurs, des particularités spatiales, tous ces moyens l’aident à atteindre son but : reconstituer une image aussi complète que possible de l’historique du crime. [1]
De plus, on ne peut le qualifier de arm chair detective puisqu’il prend grand plaisir à se promener physiquement d’un lieu à un autre, à vagabonder, pipe à la bouche, dans les pas de la victime pour s’imprégner de son univers et des gens qui le constituent. Ajoutons que dans le roman à énigme, il y a un jeu intellectuel entre détective et lecteur. Celui-ci a lieu autrement avec Maigret puisque l’organisation du savoir n’est pas au centre de l’énigme. C’est plutôt le flair, l’intuition et la sensibilité du détective qui est l’œuvre et que le lecteur suit attentivement, tentant de déchiffrer le regard que pose Maigret sur les suspects, seule fenêtre possible sur la vérité. Tous deux sont à la recherche de cette vérité : un Hercule Poirot se demande qui, où, comment, par quels moyens tandis que Maigret se demande pourquoi? C’est la réponse à cette question qui lui révélera la clé de l’énigme. Les personnages de la série de Simenon, à l’inverse des personnages du roman à énigme, sont socialement et psychologiquement parlants, complexes et tridimensionnels. Leurs rôles dans l’histoire sont plus alambiqués que celui d’un pion servant à compléter une fresque narrative. C’est leur vie, l’addition de leurs souffrances, qui les mènera à commettre un crime. Ainsi, « le crime n’est qu’un symptôme ». [2] La vie de Mme Calas dans Maigret et le corps sans tête est un exemple parfait de cette douleur accumulée qui la pousse vers ce destin tragique : une enfance trouble et solitaire, une grossesse à l’adolescence, un mari violent et le refuge de l’alcool.
À la grande différence de ses précurseurs, Maigret est un commissaire qui se retrouve ancré dans un système policier aux procédures bien installées. Méprisant ouvertement la police scientifique, Maigret y navigue tant bien que mal, profitant tout de même aisément des ressources lui étant offertes par l’institution. D’abord, le laboratoire, où les indices matériels trouvés sont analysés. Puis, le coroner qui lui fournit de l’information scientifique et technique sur le corps. Dans le cas du corps sans tête, l’inspection de ses pieds permet de remonter à la source de son métier et du type d’établissement précis dans lequel il travaillait. Maigret n’hésite pas à déléguer des tâches à ses collègues et à utiliser des codes établis entre professionnels : « Maigret adressa à Lapointe un signe que celui-ci comprit, car c’était un des rares signes conventionnels entre gens de la P.J. » [3] Mentionnons finalement le bureau confortable dont Maigret dispose – quoiqu’il préfère réfléchir sur le terrain – ainsi que l’accès à un chauffeur, lui qui refuse de conduire. En revanche, ce système rodé mis en place l’oblige à se plier à des procédures policières agaçantes : « besogne administrative dont il avait horreur » [4] ; collègues qui nourrissent une approche plus moderne et technique ; comptes à rendre à ses supérieurs qui trouvent ses méthodes peu orthodoxes et qui sont, à son avis, déconnectés de la réalité. Mentionnons le juge Coméliau qui, selon le commissaire, appartient « à un milieu déterminé, à une grande bourgeoisie aux principes rigides, aux tabous plus sacrés encore» [5]. Maigret résiste à sa manière et s’entête à suivre son intuition pour le mener à la révélation de l’énigme.
C’est d’abord son empathie et sa curiosité pour l’humain qui conduisent Maigret dans ses enquêtes. C’est ce qui le rend tout à fait unique. Le commissaire donne au lecteur l’impression que c’est sans effort, que c’est malgré lui qu’il procède ainsi, que c’est la seule façon de naviguer l’enquête qui ait du sens pour lui. Il laisse émerger en lui émotions, sentiments, pressentiments et les analyse, à l’image d’un psychanalyste qui s’attarde au contre-transfert induit par un patient. En effet, l’empathie, cette capacité et surtout cette volonté à entrer dans le monde subjectif de l’autre et à s’y identifier, ainsi que la curiosité sincère pour l’humain de Maigret, peuvent être comparées au travail d’un psychanalyste. Ce dernier laisse travailler son inconscient pour faire émerger le secret enfoui, refoulé qui permettra de libérer son patient de sa souffrance. Quant à lui, Maigret doit faire remonter à la surface le secret de l’énigme, en se fiant également à ses élans et en les inspectant. C’est son flair qui, tel que décrit par Petruta Spanu, « le conduit invariablement vers la fissure qui dévoile l’homme derrière les apparences sociales. » [6]. Sa fascination pour l’humain qu’est Mme Calas le plonge dans une quête de compréhension de celle-ci pour faire apparaître la vérité. La place de l’émotion et l’identification aux personnages pourraient laisser croire qu’on se rapproche du détective hard-boiled du roman noir. Mais Maigret semble ressentir en subtilité, il ne s’emporte pas et ne règle pas ses embûches par la violence. Il s’écoute, il se sonde pour trouver en lui la réponse installée par l’autre. Nous nous attarderons maintenant aux étapes de l’enquête de Maigret, dans lesquelles cette empathie occupera un rôle principal.
La phase d’imprégnation, désignée par Bernard Alavoine dans Les enquêtes de Maigret pour décrire la première étape d’une enquête, est tout à fait parlante des premiers moments de la quête du commissaire lorsqu’il fait face à l’énigme d’un crime. Els Wouters, de son côté, parle de « […] phase des tâtonnements, celle pendant laquelle Maigret va observer. Il rassemble le plus de détails possible, sans rien interpréter » [7]. C’est lors de cette période que le commissaire se met dans la peau de la victime en se familiarisant avec son univers. C’est là qu’il est lui-même instrument de recherche. À défaut d’employer des procédés technologiques, il s’utilise lui-même comme outil conscient et inconscient pour entrer dans le monde de l’autre. Pour ce faire, il erre, il observe, il se laisse le droit de ressentir, il s’attarde aux odeurs, aux bruits, aux sensations. Il s’immerge entièrement dans l’environnement de la victime, du suspect ou du complice pour s’y identifier et le comprendre. Dans Maigret et le corps sans tête, le commissaire découvre Mme Calas par hasard. Son intuition le pousse à s’y intéresser et à entrevoir un lien avec son enquête. Il passe ainsi presque tout son temps dans le bistro de Mme Calas. Il l’interroge non officiellement, s’envoie des verres de vin blanc et observe. Maigret pourra ainsi entrevoir de premières hypothèses, sans se presser.
Les tête-à-tête de Maigret avec les suspects, officiels ou non, sont légendaires. Le commissaire ne se contente pas d’analyser le contenu manifeste des réponses de son interlocuteur à ses questions. Il se retourne encore une fois vers son intuition pour détecter le contenu latent, le sous-texte, ce qui se cache sous la simple parole. Il observe attentivement le non-verbal et le connecte à ce qui est dit pour analyser s’il y a dissonance. Toujours à la manière d’un psychanalyste, il permet à son inconscient de se connecter à celui de l’autre. C’est ainsi qu’il peut détecter l’indétectable. Le pressentiment de Maigret lors d’une conversation avec Mme Calas dans son bistro en est un bon exemple :
Il eut l’impression qu’une lueur passait dans ses yeux, une ironie à peine perceptible. Se trompait-il? Il lui semblait que, dans son langage muet, elle lui disait : “ À quoi bon me questionner puisque vous avez compris? ”. [8]
En se montrant authentique dans son écoute, ses interlocuteurs semblent se dévoiler à Maigret en toute honnêteté, intentionnellement ou non. C’est ainsi qu’il cherche l’essence, il tente de décortiquer, de comprendre l’homme derrière le suspect pour accéder à la vérité. Tel que décrit par Alain Bernard dans Georges Simenon : de Maigret aux romans de la destinée :
[…] toujours il aura cette même façon de sentir, de renifler l’homme derrière le meurtrier, de grommeler, de se sentir mal à l’aise, avec ses gros yeux humides qui vous fixent au front sans rien voir, d’être une présence énorme, massive, maussade, obstinée, à la recherche de l’homme nu. [9]
Une fois que tous les éléments semblant être à sa disposition sont récoltés s’ensuit un point mort dans l’enquête. Maigret se referme, bougonne de plus belle, ne semble pas trouver la clé, pourtant si près du but. C’est une « période d’incubation où le tout macère en lui, de manière “anti-rationaliste”. » [10] Finalement, une trouvaille, un indice, une information décisive vient clore l’enquête, c’est la phase de résolution, baptisée ainsi par Bernard Alavoine. Dans le cas du Corps sans tête, les coupables sont déjà plus ou moins clairement identifiés pour Maigret, mais il ne trouve pas la raison du meurtre, le pourquoi et donc rien n’est encore limpide. Tel que pensé par Maigret lui-même à ce moment de l’enquête : « Ce qui importait, c’était de comprendre. » [11] Ce qui viendra entamer la phase de résolution est l’anamnèse relationnelle de M et Mme Calas. C’est donc en faisant resurgir le passé de la victime et du suspect qu’il trouvera la réponse. Un point intéressant lors de cet épisode final du roman est qu’on ne s’intéresse pas tellement à trouver qui a donné le coup fatal tuant M Calas, mais plutôt à ce qui a mené les personnages à devoir se rendre à cette fatalité. C’est en reconstituant le suspect comme humain nu, à part entière, que le casse-tête se complète :
Maigret […] pensait à Aline Calas, qui était devenue enfin, dans son esprit, un personnage complet. Il pouvait même l’imaginer petite fille. [12]
Dans ce cas-ci, comme en psychanalyse, c’est en dévoilant le traumatisme, la blessure derrière le récit que la vérité émergera et que la résolution apparaîtra, imparfaite, dure et souvent injuste. Dans Maigret et le corps sans tête, le résultat est là, décevant d’humanité, condamnant une misère et une vie tragique.
C’est à ce type de résultat imparfait, complexe, que l’analyse de données qualitatives en sciences humaines se bute souvent, étoffée, riche et beaucoup plus nuancée qu’une donnée quantitative généralisable, qu’une statistique occultant l’humanité. Tout comme dans les enquêtes de Maigret, le résultat n’est pas toujours éblouissant ni clivé, mais toujours criant d’humanité. C’est justement à cette analogie chercheur-enquêteur que nous nous attarderons dans la prochaine section.
De la même manière que celle de Maigret, la méthode de recherche qualitative se pose d’emblée la question « pourquoi? » face à un phénomène. Elle ne cherche pas à savoir combien ou à établir un lien de causalité incontestable. De plus, elle est intrinsèquement itérative dans son processus. C’est une boucle incessante qui nous ramène à notre propos, à notre questionnement initial, mais qui évolue également, qui change d’intérêt. Dans Maigret et le corps sans tête, le commissaire pose toutes ses énergies sur Mme Calas, puis sur Antoine, pour ensuite découvrir Dieudonné Pape, pour finalement réaliser qu’il doit revenir au questionnement initial : le corps sans tête, M Calas. Son enquête est un remue-méninge constant qui, à l’image de la recherche qualitative, doit rester ouverte à de nouvelles possibilités, jusqu’à la redéfinition de la quête même ou de l’objet de celle-ci. C’est ainsi ironiquement à la fin de l’enquête seulement que la réflexion suivante émerge :
Maigret constatait tout à coup qu’il y avait un personnage dont on ne savait à peu près rien et que c’était le mort. [13]
La non-linéarité des deux méthodologies, hautement rétroactives et circulaires, exige une flexibilité dans sa quête. Tant le chercheur que l’inspecteur visent ici l’essence, c’est-à-dire une compréhension riche, profonde, nuancée des phénomènes à l’étude. C’est par un réel intérêt pour les perceptions, le discours, les processus à l’œuvre qu’une compréhension émergera et qu’il sera possible d’émettre des résultats.
La subjectivité du chercheur en recherche qualitative prend une grande place dans le processus, tout à l’inverse de la recherche quantitative, voulant éjecter cette dimension au profit d’une aspiration à l’objectivité menée par des lois théoriques universelles et des variables contrôlées. La recherche qualitative considère que la nature même des données récoltées est ancrée dans la subjectivité. Susan L. Morrow, dans son article Quality and Trustworthiness in Qualitative Research in Couseling Psychology, mentionne toutefois l’importance d’être « rigorously subjective » [14], soit subjectivement rigoureux. Le psychanalyste Dr Juan David Nasio, pour accéder à la vérité chez son patient, parle d’un inconscient sublimé, c’est-à-dire une certaine utilisation de son être, de son canal intuitif et émotif, mais théoriquement aiguisé. Dans le cas de la recherche, c’est cette subjectivité qui est travaillée et encadrée rigoureusement. Bien qu’il soit important de mettre entre parenthèses ses a priori, « the bracketing of the self » [15], il est toutefois possible d’embrasser cette subjectivité et de s’utiliser soi-même comme instrument de récolte de données. Le chercheur, tout comme Maigret, co-construit la signification et fait partie intégrante de l’interprétation des données qu’il récolte. Ce processus est bien imagé par la manière dont Maigret aborde justement ses entretiens, thème faisant partie de la deuxième section de ce texte. C’est également la subjectivité des participants qui est présente, c’est elle qu’on veut déployer de manière complexe et dense. De la même manière, Maigret pénètre l’univers de sa victime et s’y insère avec son regard d’enquêteur, mais également et simplement d’homme. Dans le cas de la recherche de Maigret comme dans celle d’une recherche qualitative en sciences humaines, on cherche à comprendre un phénomène humain à travers nos yeux d’humain. C’est à la fois la manière la plus risquée mais également la plus riche de mener une recherche, comme une enquête, jusqu’au bout.
Le raisonnement abductif commence par un mystère, une surprise ou une tension, puis cherche à l’expliquer en déterminant les conditions qui peuvent rendre ce mystère moins troublant et plus « normal ». [16]
La notion d’abduction, développée par Aristote, est réintroduite par Charles Sanders Peirce en 1965 et signifie en bref « l’inférence vers la meilleure explication ». [17] Les positions hypothético-déductives et holistico-inductives, comme postures épistémologiques, sont souvent mises en opposition dans le choix de démarche scientifique et de construction du savoir. L’abduction se retrouve toutefois au centre, ou du moins inévitablement au commencement, de toute démarche qualitative. Javier Nuñez Moscoso explique :
L’abduction est une démarche opérant à partir d’une théorie compréhensive de la réalité qui permet de préparer le travail empirique et de réduire le champ à étudier. La place de l’hypothèse n’est pas a priori ; elle émerge des données pour, ensuite, s’ouvrir vers une phase de vérification de cette hypothèse. [18]
Ainsi, face à un mystère, l’abduction est créative, elle fait émerger de nouvelles idées, des hypothèses parfois hasardeuse ou issue d’une intuition, souvent couplée par des indices pointant dans cette direction. Une tentative de loi qui ferait cadrer le phénomène dans une explication est émise, puis testée par induction. À l’instar du processus itératif, il y a souvent échec, recul, puis à nouveau une tentative. Selon Els Wouters :
Le travail abductif reconstruit son objet comme une configuration mouvante et souple, tout en saisissant le qualitatif individuel, c’est-à-dire sans avoir recours à l’abstraction. [19]
Ainsi, face au résultat, au mystère du corps sans tête, Maigret émet l’hypothèse que Dieudonné Pape et Aline Calas pourraient avoir tué Omer Calas. Tout semble pointer dans cette direction. C’est l’hypothèse à accepter ou à rejeter. Puis, c’est par processus inductif, en rassemblant des données par observation et en les analysant, qu’il tirera des interprétations pouvant confirmer sa supposition dans ce cas précis. En apprenant le passé de Mme Calas et l’enjeu de l’héritage de son père, tout se mettra en place pour appuyer, de manière nuancée, son hypothèse.
Nous pouvons ainsi affirmer que Maigret se laisse porter par son intuition pour conduire son enquête. Dans Maigret et le corps sans tête, c’est celle-là même qui le mène à s’intéresser à Mme Calas en premier lieu et qui jettera les bases de son investigation. Se situant indéniablement hors des codes du roman à énigme, baignant dans la « police procedural » et teinté par la grisaille et la misère – ici ordinaire – du roman noir, Maigret se distingue tout à fait. Il s’implique tout entier dans chaque étape de son enquête, à la recherche de compréhension de la psyché humaine pour arriver à un résultat. Ces observations nous poussent à effectuer un rapprochement avec la méthode de recherche qualitative en sciences humaines, possiblement à la fois abductive et inductive. Plusieurs parallèles ont déjà été tentés pour analyser la méthode de Maigret selon l’angle de la psychologie clinique. Il serait intéressant de pousser la réflexion de la recherche en psychologie et de l’enquête policière dans leurs influences mutuelles.
[1] Wouters, Els, Maigret : « Je ne déduis jamais » : La méthode abductive chez Simenon. Éditions du CÉFAL, 1998, p.18.
[2] Spanu, Petruta, Quête – enquête – conquête : Maigret, Université Alexandru Ioan Cuza de Iasi, 2013, p.5.
[3] Simenon, Georges, Maigret et le corps sans tête, Presses de la Cité, 1955, p.60.
[4] Ibid., p.190
[5] Ibid., p. 74
[6] Spanu, Petruta, Quête – enquête – conquête : Maigret, Université Alexandru Ioan Cuza de Iasi, 2013, p.5.
[7] Wouters, Els, Maigret : « Je ne déduis jamais » : La méthode abductive chez Simenon. Éditions du CÉFAL, 1998, p. 33
[8] Simenon, Georges, Maigret et le corps sans tête, Presses de la Cité, 1955, p.66.
[9] Bertrand, Alain, Georges Simenon : de Maigret aux romans de la destinée, Éditions du CÉFAL, 1994, p. 13.
[10] Wouters, Els, Maigret : « Je ne déduis jamais » : La méthode abductive chez Simenon. Éditions du CÉFAL, 1998, p. 105.
[11] Simenon, Georges, Maigret et le corps sans tête, Presses de la Cité, 1955, p. 140.
[12] Ibid., p. 180.
[13] Ibid., p. 154.
[14] Morrow, S. (2005). Quality and trustworthiness in qualitative research in counseling psychology. Journal of Counseling Psychology, 52(2), 250-260, p. 254.
[15] Idem.
[16] Gaudet, S., & Robert, D. (2018). L’aventure de la recherche qualitative: Du questionnement à la rédaction scientifique. University of Ottawa Press, chap.1, p.11.
[17] Ibid., p.10.
[18] Nuñez Moscoso, Javier, Et si l’on osait une épistémologie de la découverte? La démarche abductive au service de l’analyse du travail enseignant, Penser l’éducation, (33), 57-80, 2013, p.2.
[19] Wouters, Els, Maigret : « Je ne déduis jamais » : La méthode abductive chez Simenon. Éditions du CÉFAL, 1998, p. 23.
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Marcoux-Bélair, Elizabeth (2023). « La méthode Maigret ». Pop-en-stock, URL : [https://popenstock.uqam.ca/articles/la-methode-maigret], consulté le 2024-12-30.